Visas russe et biélorusse en poche, спасибо !

Résumé des épisodes précédents : pour rejoindre Moscou, nous prenons le train Nice-Moscou. Il nous faut donc évidemment le visa Russe, mais comme nous traversons la Biélorussie (charmant pays extrêmement démocratique), nous devons également obtenir un visa de transit pour la République de Bélarus.


Commençons par le visa russe : et de un ! Efforts et minutie nous permettent d’obtenir sans encombre l’un des visas les plus difficiles de notre voyage. Pour nous deux, le premier tampon sur le passeport !

russie

Ensuite, le visa biélorusse : c’est bon également !

bielo

Tout se passe par correspondance (à moins qu’on habite Paris). Pour les intéressés, il faut envoyer à l’ambassade :

  1. le formulaire de rigueur avec sa photo d’identité,
  2. le passeport original,
  3. une enveloppe affranchie permettant le renvoi du passeport,
  4. un chèque de 20€,
  5. une attestation d’assurance (une nouvelle fois obtenue grâce à la carte bleue)
  6. tout document justificatif approprié.

D’après mes échanges (en russe uniquement) avec l’ambassade, la seule chose qui les intéresse c’est de savoir si l’on possède le visa du pays vers lequel on va, j’ai donc ajouté à nos dossier une photocopie du visa russe (déjà visible dans le passeport) et une photocopie de notre billet de train Nice-Moscou. 10 jours plus tard, c’était dans la boite.

 

Puisqu’on est au chapitre visas, autant continuer avec le visa australien : nous avons fait notre demande pour le visa vacances-travail australien en ligne sur le site du ministère de l’immigration. C’était un soir, un peu tard, et un peu cher. Résultat : obtenu le lendemain avant midi. On peut donc en déduire que plus le visa est cher, plus il est facile et rapide à obtenir.

C’est fini pour l’instant concernant les visas, mais ne vous inquiétez pas cela finira par reprendre, car depuis la Russie il nous faudra obtenir le visa Mongol, depuis la Mongolie le visa Chinois, et ainsi de suite pour le Laos, le Vietnam et le Cambodge.